La seigneurie de Cosquer-Quellenec

 

    Le manoir du Cosquer est situé sur la rive droite du Guindy, à gauche de la route de Caouënnec à Rospez, avant le pont sur le Guindy1.

    Cosquer ou Cozkaer, de Coz = Vieux et Kaer ou Ker = Ville, la Vieux-Ville2, au sens villa ou ferme. Cosquer, est un très ancien domaine, avant le XIe siècle; en effet, il semble que les noms de lieux commençant par Coz (comme Coz Yeaudet, Vieux-Marché) étaient déjà anciens lorsque les noms des autres lieux ont été fixés.

    Quélennec est en Cavan dont il reste le Moulin de Quélennec sur le Guindy, proche de la limite de Cavan avec les paroisses de Tonquédec et Pluzunet3.

    L’orthographe de Quélennec (la houssaie) varie dans le temps. Dans la Réformation des Fouages la forme Quélennec est attesté à Cavan en 14264, dans les archives départementales avant la Révolution, pour la région de Guingamp, nous trouvons Quelenec5 et Quellenec6 vers 1500 puis Quellenec7 avant 1669 et jusqu’à 1750, le cadastre napoléonien de 18358 utilise Quellennec et Quellenec, Potier de Courcy en 1846910 retient Quélenec, la carte IGN adopte Quélennec et Y.Botrel revient à Quellenec.
    La forme Quellec est retenue par l’INSEE11(à 4 km au Nord Ouest du bourg) me semble erronée ou sans rapport avec Quellenec.
    Le texte ci-dessous, en dehors des citations rapportées entre guillemets, utilise Quellenec pour la seigneurie (forme historique)12 et Quélenec pour le patronyme.

    En 1555 on attribue séparément la haute justice aux seigneuries du Cosquer à Caouënnec et du Quellenec en Cavan, appartenant toutes deux à François de Quélen13.

    En 1731 la seigneurie du Cosquer-Quellenec possède haute, basse et moyenne justice14.
    Un auteur attribue cette haute justice au président de Montluc peu de temps avant la Révolution15 ; le président de Montluc est, jusqu’en 1775, Louis de La Bourdonnaye époux de Renée-Thérèse de Boiséon.    
    Un autre auteur l’attribue à M. de Kercaradec (alias Carcaradec) en 177816, lequel est René-Louis Rogon époux de Georgette-Louise-Prudence de La Haye.

 

1. Succession des seigneurs du Cosquer-Quellenec :

    Examinons séparément les seigneurs de Quellenec et de Cosquer jusqu’à la fusion des deux seigneuries, apparemment vers 1500.

 

1.1 Les seigneurs de Quellenec :

    Le patronyme Quélenec est attesté dès 1283 à Cavan par l’acte suivant.
    « En 1283, acte d’arbitrage de plusieurs chevaliers, écuyers et bourgeois de Lannion qui, pour assurer au duc le prix d’une amende de 50 livres de revenu à lui due par Morvan de Quelenec, écuyer coupable de forfait, lui ont concédé deux parties du havage, la 8e partie de la taille, les foires de la saint Jean-Baptiste et les droits en dépendant, le devoir perçu sur le sel, la 8e partie des amendes et deffauts, la taxe des huiles, les 4 deniers de la justice à sang, le droit de gite pour trois chevaliers, les villages de Ricou17, d’Etienne18, et son moulin au Moine, le tout sis dans les paroisses de Lannion et de Cavan19 ». 
NB : le droit de havage était un droit du bourreau de prendre sur les étalages du marché une poignée de chaque denrée. Ce droit est attesté appartenir aussi à la famille de Lannion en avant 150720.

    Potier de Courcy distingue quatre familles Quélenec dont l’une, avec pour armoiries « De gueules à trois annelets d’or » de Cavan, Louargat et Ploubezre ; mais nous n’avons pas de preuve que l’acte de 1283 est relatif à cette famille.

    En 1426, dans la paroisse de Cavan (et sa trève Caouënnec), « Guillaume du Quélennec » figure parmi les nobles21.

    Bien avant 1470, Henry de Troguindy, seigneur du Launay en Camlez, est marié à Marie du Quélenec22, fille de Guillaume et de Margilie du Perrier, « dame du Quelennec » en Cavan23.

    Le Quellenec passe ensuite à leur fils Jehan de Troguindy marié le 8 juin 1447 à Jeanne de Kerloaguen24.
    Un acte étonnant parce qu’il dit Jehan de Troguindy seigneur de Lannion et porte probablement une date erronée dans l’Inventaire Sommaire puisque les autres articles du même carton sont du XVIIe siècle : 
    « Baronnie du Vieux-Chastel : tenue et adveu de la seigneurie du Quellenec fourni par nobles homs Jehan de Tronquidy, seigneur de Lannion, au seigneur de Guingamp en date du 23/07/1484 25».

    Puis Le Quellenec passe à leur petit fils Jean de Troguindy marié à Jeanne de Sclizon26.

    A noter que le père de Jeanne, Olivier de Scliczon, sieur de Keranfaut, est lieutenant général des armées de la duchesse de Bretagne dont il reçoit, pour récompense de ses services, des terres en Cavan27.

    « En 1500, Dom Jean du Quellenec est prieur claustral de l’abbaye de Bégar »28.

    En 1504, Jeanne de Troguindy est dame du Quellenec29.
    Cette Jeanne de Troguindy est probablement la première épouse de Jean de Quelen ci-dessous au paragraphe 1.3.

    La fusion entre les seigneuries du Cosquer et de Quellenec semble issue de ce dernier mariage et probablement seulement après le décès de Jean de Troguindy père de Jeanne; en effet le manoir du Quélenec en Cavan est encore attribué à Jean de Troguindy en 1633 ou après30.

 

1.2 Les seigneurs du Cosquer :

    En 1426, dans la paroisse de Cavan (et sa trève Caouënnec) Rollant Cosquer figure parmi les nobles et Yvon Mellou exerce au Cozkaer comme métayer du Sire de Quelen31.
NB : vu l’appellation Sire, il s’agit probablement de Conan IV de Quélen ci-dessous.

 

    En 1476, le Cosquer est à Yvon de Quélen32, probablement le fils de Conan IV de Quélen et de Typhaine de Quélenec (fille du vicomte du Fou en Rosnoën), sire de Quélen, baron du Vieux-Chastel; Yvon se marie à Jeanne de Kerimerch, puis le 26 février 1450 à Jeanne du Chastel33
NB : Malgré que Conan IV possède une terre en Cavan en 143634, cette première alliance Quélen – Quélenec, trop ancienne, ne semble pas à l’origine de la réunion des deux seigneuries qui se fait plus tard vers 1533.

    En 1502, le Cosquer est à Marie de Pontglo35.
        Qui est cette marie de Pontglo?
    Un Maurice du Pontglo de l’évêché de Tréguier prête serment de fidélité au duc Jean V36
    Le patronyme Pontglou est attesté vers 1437 mais sans alliance connue avec les Quélen. 
  Des lieux-dits Poul-Glaou existent à Cavan (moulin de Poulglaou à la limite de Quemperven37), Quemperven et Pleumeur-Gautier38
    Ce moulin Cosquer-Poulglau, dont dépendent des convenants à Quemperven, est attesté beaucoup plus tard (vers 1710) à Cavan39

    Un domaine de Poulglaou en Pleumeur-Gautier40 sera plus tard en la possession de Pierre de Trogoff, seigneur de Pont-Even (alias Pontenès) en Trégrom, marié avant 1588 à Gilette d’Avaugour. Ce domaine, trop éloigné de Cavan-Caouënnec, et cette famille ne semblent pas liés à la seigneurie Cosquer-Quellenec.

 

1.3 Les seigneurs de Cosquer-Quellenec :

    En 1533 Jean de Quélen, petit fils de Yvon et de Jeanne du Chastel, seigneur de Quélen et baron du Vieux-Chastel, époux en 1508 de Jeanne de Troguindy, héritière de Runaudren et du Quélennec en Cavan, puis époux vers 1533 de Marie de Kergoet41 42(et non pas Kergoc), est seigneur du Cosquer et de Quellenec43.
Nota : Catherine de Kergoet, sœur de Marie qui décède avant 1548, est mariée à Jean du Quélenec, seigneur de Kerjolis, et cette Catherine hérite de tous les biens de Marie44.

    En 1555, François de Quélen, fils de Jean de Quélen ci-dessus, sire de Quélen, baron du Vieux-Chastel, époux d’Anne du Quélenec, héritière de L’Estang ou du Stancq en Trébrivan45, possède le Cosquer-Quellenec46 47.

    En 1616, Renée de Quélen, nièce du précédent et épouse en 1582 de Claude de Lannion, seigneur du Cruguil, possède le Cosquer-Quellenec48 49.

    « Aveu par Renée de Quélen, femme de Messire Claude de Lannion, pour le manoir et le moulin de Cozkaer, neuf convenants et une pièce de terre dans la frairie de l’Isle50 ».

    La seigneurie du Cosquer-Quellenec passe ensuite probablement à Jean de Lannion, fils de Claude et Renée de Quelen, seigneur des Aubrays en La Chevrollière en 1621, dit Lézobré, baron du Vieux-Chastel en 1640, seigneur de Lizandré en Plouha, de La Noe-Verte en Lanloup, gouverneur de Lannion de 1625 à 1639, capitaine des ban et arrière ban et gardes côtes de Tréguier, époux de Moricette Barbier, plus tard comtesse d’Espinay51.
    Louis Le Guennec relate les légendes du séjour de Lezobré en Loqueffret dans la forêt du Rusquec et dit qu’il triompha du Maure sauvage du Louvre52
    François-Marie Luzel a recueilli au moins trois chansons ou « Gwerz » qui chantent les combats de ce seigneur, protégé par sainte Anne de Vannes (sainte Anne d’Auray), contre un magicien Maure ou nègre favori du Roi dans « Les Aubrays » (combat entre Lezobre et Koat-ar-Skevel du coté de Lannion), « Les Aubrays et le more du Roi » (combat entre Les Aubrays et Koat-ar-Ster du coté de Tréguier), « Les Aubrays et le More du Roi » (combat entre Les Aubrays et Koat-ar-Skin à Sainte-Anne de Vannes)53.

    Leur fille Renée Françoise de Lannion, héritière des Aubrays en 1671, de Lizandré et de la Noe-Verte, épouse en 1668 Alain de Guer, marquis de Pontcallec54.
NB : leur petit fils Clément Chrysogone de Guer, un des membres de la Conspiration Cellemare, est décapité à Nantes en 172055.

    Le 30 septembre 1678, Jean Geffroy, sieur de Kervegant en Arzano, Conseiller honoraire au Parlement de Bretagne, décédé en 1727, époux de Marie Lesrat, décédée en 1710, acquiert, du Marquis de Pontcallec (Alain de Guer), en propre le tiers de la seigneurie de Cosquer Quélennec et les deux tiers en communauté avec son épouse56.

    De 1710 à 1714, date de son décès, Jean-Maurice Geffroy, fils des précédents, chevalier, seigneur de Kervégant, Conseiller au Parlement de Bretagne, est seigneur des 2/3 du Cosquer-Quellenec57(sa sœur Marguerite ayant droit, après le décès de son père, au 1/3 de cette seigneurie).

    « Le 2 aout 1731, minu fournit par dame Marguerite Geffroy dame de Kervégant (paroisse d’Arzano), Quillingant (alias Quilligant paroisse de Lesbin-Pontscorff), La Porte Carie, Le Botterf et autres lieux, … propriétaire de la seigneurie du Cosquer-Le Quellennec, épouse …de messire Joseph Huchet chevalier seigneur de Cintré (paroisse de Cintré), vicomte de La Bédoyère (paroisse de Talensac), seigneur de Montfort, le Breil, La Roche et autres lieux lieutenant et subdélégué de Messieurs les Maréchaux de France,…, à la Seigneurie et Duché de Penthièvre pairie de France au siège de Guingamp,… pour l’éligement du rachat acquis à la dite seigneurie par le décès de Messire Jean Geffroy chevalier seigneur de Kervégant en son vivant Dame Marie Lezrat sa mère décédée au mois de mars 1710 et celui de messire Jean Maurice Geffroy (son frère) en son vivant Conseiller au Parlement de Bretagne arrivé au mois d’avril 1714 pour le tiers et les deux tiers des héritages58 .
    En 1746 le Cosquer-Quellenec est à Marguerite Geffroy, dame de Kervégan, comtesse de Cintré, fille des précédents, épouse de Joseph Huchet, seigneur de Montfort-le-Breil59.

    En 1760, le Cosquer-Quéllenec est à son héritière Charlotte-Mathurine-Geffroy, épouse de Jean-François Jacquelot, comte de Boisrouvray60.

    En 1789, lors de la Révolution, la seigneurie du Cosquer-Quellenec appartient à leur fils Louis-Marie-Julien Bernardin Jacquelot, seigneur de Boisrouvray.

 

2. Liste des biens de la seigneurie du Cosquer :

    Un rentier ? de 1613 ou 1618, énumère les biens ou domaines de Renée de Quélen, épouse de Claude de Lannion, dans la seigneurie du Coskaer en Caouënnec : manoir du Coskaer, autre métairie, moulin banal du Convenant appelé Gouzourès, Convenant Catherine Laveant, le Convenant Bocquelou ?, le Convenant Kerangars, …, Convenant Richard,…, Convenant Maes ar Porz ou Gabriel, Convenant Kernizniz… 61.

    Un minu de 1731 énumère les biens ou domaines de Marguerite Geffroy, comme suit:

Dans la paroisse de Cavan :
Manoir noble du Quellennec, Moulin du Quellennec, Convenant Goazic, Convenant Coatléven, Convenant Le Goff ou Mesanlean, Convenant Kervéven, Convenant Le Vot autrement Le Petit Quellennec, Convenant Mesléan terroir de l’Isle, Convenant Kergos ou Jouannec terroir de Keriquiel, Le Bois Taillis du Quellennec avec les rabines du Cozquer et du Quellennec,
Dans la trève de Caouënnec :
 Lieu et Manoir noble du Cozquer, Le Moulin du Cosquer (dont la rente est très élevée 120 livres tournois), le Convenant Le Cosquer Huellan, Convenant Keranhars (Kerhars), Convenant Le Bris ou Tanaou, Convenant Colven (Golven), Convenant Goazourès.62
Les rentes dues par les exploitants de chaque domaine à Marguerite Geffroy, à chaque Saint-Michel en septembre, sont exprimées en renées de froment et d’avoine et ou en boisseaux de froment, d’avoine ou de gros blé, en mesure de Lannion pour 5 domaines ou en mesure de Guingamp pour 8 domaines, en argent (livres et sols tournois), en nombre de saumons, de chapons, de poules, de poulets.

    La seigneurie du Cosquer-Quellenec possède des droits de prééminences dans l’église de Caouënnec :
    Vers 1640 « Transaction sur procès entre Jean de Lannyon, châtelain des Aubrais, et Claude de Coateloury, sieur dudit lieu, par laquelle ce dernier reconnaît que le droit de patronage dans l’église de Cauhennec appartient sans contredit au seigneur des Aubrais63 ».
    En 1731 « Droit de fondateur et patronage aux églises paroissiale et tréviale dudit Cavan et Caouennec, prières nominales, écussons, lizières, bancs et accoudoirs et autres prééminences et droits prohibitifs dans toutes les chapelles de la dite paroisse64 ».

    Un rentier de Coskaer-Quellenec du XVIIe siècle reste à exploiter65.

    Que reste-t-il du Cosquer après la Révolution :

    Le manoir du Cosquer correspondait probablement au Cosquer-Huellan bâti au Nord-Est d’une élévation de terre « Crech Cozquer » qui culmine à une altitude de 88m, au dessus de la rivière du Guindy, du Pont d’Albin et de la route de Guingamp à Lannion; dans un mur du Cosquer-Izellan , il reste au début de ce XXIe siècle une fenêtre? à deux « lancettes ».
    Le Moulin du Cosquer était alimenté par un bief qui doublait les méandres (une trentaine de virages) de la rivière du Guindy depuis Pont d’Albin.
    Au XIXe siècle un chemin allait encore tout droit du bourg par Goas Ourès au Cosquer66

    Pour aller plus loin dans la description, il faudrait analyser les noms des parcelles à l’époque dans les matrices cadastrales, pour rechercher celles qui évoquent chapelle, colombier, four, patibulaire de cette haute justice qui sont les attributs d’une telle seigneurie.

Notes : 

1 IGN 715 Est

2 F.Falc’hun avec la collaboration de B.Tanguy « Les noms de lieux celtiques, 2 ème série » 1970, p8

3 IGN 715 Est

4 H.Torchet « Réformation des Fouages évêché de Tréguier 1426 » 2003

5 AD22 E919

6 AD22 E1160

7 AD22 E983, E1018, E1472, E2965

8 Cadastre de Cavan 1835

9 Potier de Courcy « Nobiliaire et Armorial de Bretagne » 1846

10 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002  p85

11 INSEE « Nomenclature des écarts, hameaux et lieux-dits » 1946 et 1982

12 E.Ernault « Glossaire de Moyen Breton » 1895 p531

13 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

14 E963 (Minu du 2 aout 1731)

15 S.Ropartz « Guingamp_Etudes pour servir à l’histoire du Tiers-Etat en Bretagne », 1859, t1, p291 , repris par Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002  p303

16 Ogée « Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne », 1778, rééditions 1843, 1979

17 Probablement Kericoul en Cavan

18 Probablement Kerstephan en Cavan (en breton le prénom Etienne est traduit Stéphan), près de la chapelle Saint-Laurent décrite dans la Seigneurie de Runaudren.

19 AD44 E161, Dom Morice « Mémoires pour servir de preuves à l’histoire ecclésiastique et civile de Bretagne » T1, 1742, colonne 1067, A.De La Borderie « Origines du prieuré de Kermaria à Lannion », Mélanges d’histoire et d’archéologie bretonnes, t1, 1855, p236.

20 AD22 E3034

21 H.Torchet « Réformation des Fouages évêché de Tréguier 1426 » 2003

22 R.Couffon « Chapelles, autels, enfeux de la cathédrale de Tréguier » eSocECdN 1932 p187, 190, 196

23 R.Le Martret (Manuscrit de Keroulas)

24 R.Couffon « Chapelles, autels, enfeux de la cathédrale de Tréguier » eSocECdN 1932, p187, note 36

25 J.Lamare « Inventaire-Sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 - Côtes du Nord » T2, IIe partie, E2949

26 R.Le Martret (Manuscrit de Keroulas)

27 R.Le Martret (Manuscrit de Keroulas)

28 H.Le Goff « Bégard_Le Petit Citeaux de l’Armorique » 1980, p81

29 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

30 AD22 E1145

31 H.Torchet « Réformation des Fouages évêché de Tréguier 1426 » 2003

32 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

33 Comtesse du Laz « Histoire de Carhaix », 1990, p48 et Rémy Le Martret (Manuscrit de Keroulas)

34 H.Torchet « Réformation des Fouages évêché de Tréguier 1426 » 2003 p233

35 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

36 AD44 E147

37 Cadastre de Cavan 1835

38 INSEE INSEE « Nomenclature des écarts, hameaux et lieux-dits » 1982

39 AD22 E492

40 AD22 E2601

41 Comtesse du Laz « Histoire de Carhaix », 1990, p49

42 AD44 B1146, B1083, B1186, B1188, B1177, B1427

43 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

44 R.Couffon «quelques notes sur Plouha» SocECdN 1928 p175 ; AD44 B1083, B1188, B1427

45 R.Le Martret (Manuscrit de Keroulas)

46 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

47 Comtesse du Laz « Histoire de Carhaix », 1990, p49

48 AD22 E966 collecté par Didier et Carola Richard

49 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

50 AD22 E966

51 AD22 E2342

52 L.Le Guennec « Nos vieux manoirs à légendes » t1 page 77, « En Beiz-Izel autrefois » 1940, t4, p35 et 176, « Nos Vieux Manoirs à Légendes », t5 p110 à 115

53 FM.Luzel « Gwerziou » 1868, réédition 1971, tome 1, pages 287 à 306

54 AD22 E2342

55 A.De La Borderie et Pocquet « Histoire de Bretagne », tome 6 p148

56 AD22 E963 (Minu de 1731) collecté par Didier et Carola Richard

57 AD22 E963 (Minu de 1731) collecté par Didier et Carola Richard

58 AD22 E963 (Minu de 1731) collecté par Didier et Carola Richard

59 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

60 Y.Botrel “Les Justices seigneuriales de l’évêché de Tréguier » 2002, p85

61 AD22 E966 collecté par Didier et Carola Richard

62 AD22 E963 (Minu de 1731) collecté par Didier et Carola Richard

63 AD22 E2167

64 AD22 E963 (Minu de 1731) collecté par Didier et Carola Richard

65 AD22 E2965

66 Cadastre de 1826

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